Twain Mark – Le Prince et le Pauvre : Si un prince, futur successeur d’Henry VIII, et un jeune garçon des bas quartier londoniens se ressemblaient ">
Mal reçu, à l’époque en Angleterre, sans doute à cause du «renversement des rôles qui permet de décrire l’absurdité d’un système de classes profondément cruel et injuste. Cette histoire est plus noire que celle de Tom Sawyer, même si tout finit bien, que les Méchants sont punis et les Justes récompensés. Twain souligne la bonté naturelle des enfants, leur sens de la justice, leur générosité, leur naïveté aussi. Si certains enfants sont violents et cruels, c’est leur mauvaise éducation qui est en cause. Comme Hugo, il montre un peuple de Misérables, criminels et brutaux, vicieux et pervertis par les mauvais traitements et l’injustice. Il suggère que c’est par l’éducation qu’on peut améliorer le sort des enfants. Ouvrir des écoles, c’est fermer des prisons.» (Junie, 16.04.2018, Babelio)
«Belle aventure, pleine de rebondissements, qui nous dresse un portrait de l’Angleterre du 16è siècle peu reluisant. Prisons sordides, tribunaux impitoyables, croyances surnaturelles, abus de pouvoir… Et si tous les grands de ce monde faisaient cette expérience, ils changeraient sans doute aussi leur façon d’agir et de penser.» (Gouelan, 29.09.2015, Babelio)
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