Roger Noëlle – Le Livre qui fait mourir

Roger Noëlle – Le Livre qui fait mourir: Le narrateur, diplomate en Syrie se voit confier un mystérieux ouvrage, traitant d’une religion inconnue, qui vient de ca la mort de son détenteur. Tandis qu’il le confie à son tour à un collègue, afin que le livre rejoigne la par le biais de la valise diplomatique, les morts inexpliquées s’enchaînent. En prise aux fièvres de la malaria, et des plus sinistres pressentiments, le narrateur rentre en , dans sa maison de campagne. Cherchant à remettre ce livre, il e des savants orientalistes… Mais le livre n’a pas fini de faire des victimes, des adeptes de cette religion étant décidés à maintenir le secret le plus absolu sur leur doctrine…

Rappelons que Noëlle Roger (1874-1953), de son vrai nom Hélène Dufour, est née et décédée à Genève. Sa longue carrière de professeure et d’éditorialiste est couronnée en 1948 par un prix de l’Académie française. Jusqu’à son décès, elle écrit de nombreux livres, des romans psychologiques et des nouvelles qu’elle signe d’un pseudonyme mêlant le prénom de son frère aîné Léon et de son frère cadet Roger. Elle a également publié une dizaine de romans et recueils de nouvelles fantastiques ou spéculatifs entre 1922 et 1941 dont Le Livre qui fait mourir qui aurait inspiré Umberto Ecco pour Le Nom de la Rose. Nous vous le présentons ici.

Avec son mari Eugène Pittard, le fondateur du Musée d’ethnographie de Genève, elle explore plusieurs pays dont la Turquie et le Proche-Orient.  Après la déclenchement de la Première Guerre Mondiale, elle est infirmière dans un hôpital de Lyon. Marquée par les tragédies de la guerre, elle dédie plusieurs textes aux soldats, aux réfugiés et à leurs proches.

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